ça y est, la société a décrété que désormais, je devais me consacrer à couver. Même que j’suis payée pour ça, et qu’on me surveille pas. Trop bien. Merci la dinde.
Mais on peut surprendre quand même, comme ici avec des tomates séchées dans un cake sucré. Les calissons salés du Roy René, présentés au Sial, m’avaient moyennement plu. D’ailleurs, ils étaient quand même vachement sucrés, trop glacés, bref. N’empêche que celui à la tomate séchée avait quelque chose d’intéressant.
D’où ce cake, avec de la crème de calisson, et des tomates séchées. Pas de celles qui trempouillent, non. Des sèches, réhydratées quelques minutes à l’eau bouillante et bien essuyées. C’est comme ça qu’on fait dans cette maison, avant de les mettre dans des pots à cornichons (voyez pourquoi, non?), avec de l’huile d’olive, un trait de vinaigre, l’assaisonnement qu’on veut. Meilleur, et beaucoup plus économique.
L’autre en revanche j’ai tout bien noté car cette une tuerie. Une recette de Kaori Endo (you know, une Japonaise à Paris… Mum, you can put it on my wishlist) un peu amendée (on se refait pas), avec des cerises amarena dégoulinantes, et du matcha dont on ne se lasse pas. Top avec un genmaicha (j’allais pas apporter le champagne, non plus).
Je me remets d’une mad night parisienne et je reviens très vite avec une petite merveille roussillonnaise…
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