Une semaine ordinaire, une fête des mères et du sucre : tarte au citron meringuée et sticky toffee puddings
Passons sur les épisodes d’une non-funkitude absolue de la vie d’une pakistanaise professionnelle – ie : stagiaire. Non parce qu’on m’a dit que, parfois, voire souvent, j’étais pas claire avec mes métaphores à la mord moi le nœud (étrange expression, by the way (combien de tirets et de parenthèses parviendrai-je à imbriquer en une seule phrase, telle est la question)) – rythmée par les centaines de slides Power Point qui forment mes journées – slide 1 : la loose, slide 2 : pause VDM, slide 3 : la super loose, slide 4 : pause déjeuner, slide 5 : la méga loose, slide 6 : la wonder loose , slide 7 : la loose transcendée en art de Vie.
Mais y’a pas que ça, dans ma journée de base, elle peut aussi être un peu pimentée par une altercation cocasse avec l’ “hôtesse de caisse” du Monop’.
La scène : je suis à la caisse avec, entre autres victuailles, un bouquet de basilic, que je n’ai pas mis dans un sachet par égard envers la planète. Qu’est-ce qu’elle me dit ? “Non mais mademoiselle, faut mettre les herbes dans un sachet. Nous on fait la Guerre (oui oui, la Guerre, j’ai bien entendu sa majuscule) pour ça ! Vous vous rendez pas compte, si une feuille tomb