Bye bye Bling bling : donuts clinquants glacés au pandan mais pas que
Et oui, dure réalité. Lui se retrouve un peu con devant les résultats des élections locales, et moi je me retrouve un peu conne devant la page blanche de Word, et ce curseur clignotant qui hurle au désespoir.
Mes bouffonneries médiatisées – un peu quand même - et peu présidentielles – très peu, soit – me laissent K.O, essoufflée telle un chiot galeux, Ray Ban à terre, devant un amer constat : y a rien à faire, j’ai rien à dire.
Pétrifiée, mortifiée, horrifiée, le temps passe et mon clavier ressemble de plus en plus à un tapis de fakir à l’approche duquel mes doigts s’épouvantent (je sais pas si vous avez déjà vu un riquiqui épouvanté, c’est assez mémorable).
Jamais au grand jamais n’aurais-je soupçonné qu’un tel sort puisse s’abattre sur ma petite personne : je suis réduite à un mutisme assourdissant. J’ai bien pensé à engager Henri Guaino pour écrire mes posts